Le défi logistique est un casse-tête insoluble pour le testing salivaire, en Fédération Wallonie-Bruxelles comme en Flandre, et les premières analyses font apparaître des bénéfices très limités, a justifié la ministre, par la voix de son porte-parole.

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Et pourtant, il y a une dizaine de jours : Le projet-pilote de tests salivaires auprès du personnel enseignant effectué en mars a permis la détection de deux foyers d’infections, ressort-il d’une première évaluation publiée mercredi par le Commissariat corona du gouvernement fédéral.

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D’efficace, le testing salivaire est devenu aux bénéfices très limités. Sans doute que la salive s’est évaporée en 10 jours, et du coup le porte-parole a dû user de la sienne…